Il est en capacité de pratiquer des séances individuelles de Shiatsu, le massage japonais par pressions digitales.
Il étudie un méthode manuelle comme outil de relaxation.
Il connait et applique des mouvements (appuis, compression, étirement) permettant d’apporter de la détente et un relâchement profond.
Le Shiatsu est une pratique complémentaire pouvant être utilisé en prévention santé et bien-être.
Il n’est ni un guérisseur, ni un masseur thérapeutique. Il ne fait pas de diagnostic et répond à un code de déontologie professionnel.
*Les termes Intervenant en Shiatsu™ et Intervenant en Sokuatsu™ sont des certifications déposées et protégées comme marques auprès de l’INPI. La notion de « certification » peut revêtir plusieurs sens. La certification professionnelle désigne l’acte attestant qu’à l’issue d’un processus d’évaluation, qu’une personne maîtrise, par la formation initiale ou continue, ou par son expérience professionnelle, ou par une démarche individuelle, un ensemble de compétences nécessaires pour l’exercice d’un métier et qu’elle sera en mesure d’exercer les activités professionnelles associées, avec un niveau de responsabilité et d’autonomie bien défini (source France Compétences). Notons que les programmes, contenus pédagogiques, diplômes et législation juridique sont très différents entre la France et le Japon. Les noms donnés aux métiers sont Shiatsushi et Fumishi. Rappelons qu’au Japon, l’exercice du Shiatsu ou du Sokuatsu est une prestation de service et non un soin conventionnel médical. De plus, il est d’usage de décrire les personnes non diplômées d’État « temomi » ou « hogushi » pour notifier aux clients que les professionnels proposent des services similaires de massages portant sur de la relaxation plutôt que sur la « guérison ». On entend par ce dernier mot l’aspect médical ou l’action thérapeutique du massage.